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GSBII Thème C: Organismes nuisibles affectant les cultures

Organismes nuisibles affectant les cultures : des stratégies innovatrices en gestion durable des organismes nuisibles

Les mauvaises herbes, les insectes et les maladies représentent une difficulté constante pour tous les producteurs. Dans l’agriculture biologique, l’adoption de mesures de lutte culturale est favorisée pour réduire les risques associés aux pesticides. Par contre, dans certains cas, les pesticides sont une des quelques options rentables pour la lutte antiparasitaire ou pour assurer la salubrité des aliments. Ce sujet repose sur des solutions innovatrices qui conviennent à la lutte antiparasitaire dans le cadre d’une gestion biologique. Plusieurs de ces solutions peuvent aussi être adoptées par des producteurs d’aliments non biologiques, et cette polyvalence a été généralement reconnue, que ce soit le désherbage mécanique ou les contrôles biologiques.

Les maladies sont un problème important chez les fruits et légumes : le rendement des cultures, la qualité marchande et la durée de conservation sont touchés. Les activités liées à la gestion des maladies ont pour but de trouver de nouveaux moyens pour gérer les maladies dans les cultures biologiques de grande valeur. Plus particulièrement, les activités de recherche exploreront :

Les insectes peuvent constituer un problème exponentiel et proviennent de sources à la ferme et externes à la ferme. Dans plusieurs cas, les insectes sont un obstacle important à l’introduction de nouvelles options en matière de culture. Les activités liées au thème cibleront les organismes nuisibles sur les cultures biologiques importantes et émergentes au moyen de solutions à faible risque :

Les mauvaises herbes sont le fléau des agriculteurs depuis la nuit des temps. La résistance des mauves herbes aux herbicides modernes est devenue un risque croissant et un problème important dans les systèmes traditionnel et de culture sans labour. Les agriculteurs de produits biologiques ne peuvent utiliser d’herbicides synthétiques, et peu d’herbicides certifiés biologiques sont approuvés ou sont économiquement viables pour la production commerciale à grande échelle. Par conséquent, il faut trouver de meilleures options pour la gestion des mauvaises herbes, tant pour les cultures de grande production et les cultures horticoles. Les activités de recherche doivent mettre l’accent sur :

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  • Activité C.21: Développement de stratégies de contrôle pour la tavelure de la pomme
  • Activité C.22: Développement de la production de fraises biologiques par l’exploitation de leur capacité génétique naturelle d’absorption du silicium
  • Activité C.23: Développement technologique de la thérapie par lumière ultraviolette postrécolte pour une prolongation de la conservation des fruits et légumes biologiques frais
  • Activité C.24: Développement de stratégies validées pour la désinfection des semences en production biologique de légumes germés
  • Activité C.25: Gestion biologique intégrée des organismes nuisibles pour l’entreposage du grain et les usines de transformation
  • Activité C.27: Évaluation des huiles essentielles végétales pour la lutte contre les insectes nuisibles du bleuet
  • Activité C.30: Développement de stratégies de gestion intégrée des organismes nuisibles incluant les nouveaux biopesticides viraux en cultures biologiques
  • Activité C.32: Intégration du contrôle des mauvaises herbes en production de pois et lentilles biologiques
  • Activité C.33: Nouveau contrôle cultural et mécanique des mauvaises herbes en production de lin
  • Activité C.36: Effet des régimes d’irrigation sur le contrôle des mauvaises herbes en production de canneberges biologiques
  • Activité C.37: Gestion innovatrice des mauvaises herbes en production de cultures biologiques
  • Activité C.38: Étude et intégration de nouvelles techniques pour appauvrir les banques de graines de mauvaises herbes : impact de la biofumigation sur divers types de dormance des semences et sur l’écologie des mauvaises herbes